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Détails participation TRIBUNE |
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| Designation | Donnee |
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Identifiant |
44 |
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Nom |
Amor BELHEDI |
| Envoyer un mail au participant | |
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Pays |
Tunisie |
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Adresse |
Faculté des Sciences Humaines |
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Date
insertion |
25-09-2007 16:30:37 |
| Participation | Réponse à Monsieur Ahmed Rahmouni Il est certain que la ville de demain se construit en partie aujourd'hui mais une bonne partie est déjà construite dans le passé déjà. Le problème du kogement qu'un aspect de la ville durable qui nécessite la mise en place d'une politique appropriée pour répondre aux besoins actuels et futurs et respecter l'environnement, les ressources et les générations futures. La périurbanisation a résolu certes d enombreux problèmes liés à l'accès à l'urbanité mais l'étalement en constitue une des limites. C'est un choix à faire à chaque période qui peut aussi être remis en cause après uen certaine période plus ou moins longue lorsque les effets négatifs commencent à apparaître ou peser lourdement, comme est le cas de l aplupart des réponses faites pa r le groupe social aux différents besoins. Après une phase d'étalement qui est devenu parfois excessif, on revient de plus en plus selon les villes et les civilisations, à la densification du tissu urbain sous l'effet de la containte à la fois économique (coût élevé), environnemental ou culturel (isolement, étakement des déplacements....). Les nouvelles techniques ârticipent à résoudre certains problèmes posés en fonction toujours des coûts et de l aprise de conscience de l'impératif paysager, sanitaire, esthétique, économique... Entre un surcoût de 8.5 - 12% et une pollustion visionnelle, il faudrait faire un choix. En réalité, on ne peut pas facilement joindre les deux. Des solutions aujourd'hui sont jugées trop coûteuses peuvent s'avérer demain ou dans quelques décennies appropriées et s'imposeraient de fait et la production pourrait être industrialisée (ventilation, isolation, étanchéité, recyclage des eaux de pluie, panneaux solaires...). C'est tout à fait normal que les moments de crise apportent des solutions et cela est vrai dans tous les domaines. L'innovation vient souvent pour répondre à un besoin et ce sont les périodes de crise où on en sent le plus le besoin de chercher de nouvelles solutions. Ce n'est pas par hasard que leq guerres ont toujours les moments les plus féconds en innovation (industrie de l'aire, aérospatiale...) mais cela ne veut pas dire qu'il faut attendre la crise pour chercher des solutions. En effet, une politique éclairée et de longue haleine est de nature à facilietr à trouver une solution àdu moins à long terme. Voilà quelques remarques suscitées par votre email. |